Donner du sens à un travail de réflexion sur la question de la souffrance et de la mort en institution.
Mobiliser sur un plan personnel, professionnel et collectif, les valeurs fondamentales qui sous-tendent les rapports à la vie, et la disposition à se rendre présent à un enjeu universel : humaniser l’acte du mourir, si possible accompagné.
Identifier les angoisses enfermantes qui inhibent les échanges entre soignants, soigné et les membres de la famille, afin que les émotions libèrent aussi une capacité d’apaisement et de congruence.
Passer de l’évitement à l’élaboration des étapes successives de motif anxieux. Avancer dans la compréhension de la notion de travail du deuil.