Les effets du bien-être et de la Qualité de Vie au Travail au sein de nos ESSMS ne sont plus à démontrer : fidélisation des professionnels, réduction de l’absentéisme, accroissement de la motivation. Selon Ayming, Baromètre de l’Absentéisme et de l’Engagement 2018, 42 % des absences sont dues à une mauvaise qualité de vie au travail. Un récent sondage de l’IFOP souligne que 81 % des employés mettent le bien-être au travail au premier rang de leurs attentes. Les résultats du baromètre du cabinet Empreinte Humaine, pour la santé psychologique et physique des salariés, indiquent que 50 % des salariés sondés ne se sentent pas consultés pour la prise de décision et que 42 % ressentent un manque d’estime et de respect au regard des efforts consentis.
Enfin, le nouveau référentiel d’évaluation de la HAS fait état de plusieurs exigences en matière de QVT, soulignant ainsi l’importance prégnante du bien-être au travail au sein de nos structures.
Il apparaît donc que nos modes de management sont à reconsidérer et que la notion de sens devient, sans doute, un enjeu majeur.